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Les Filles du roi

Pour toute personne qui plonge dans la recherche de ses origines franco-canadiennes, la découverte d’une « Fille du roi » parmi ses ancêtres est presque inévitable. Ces femmes, au nombre d’environ 700, ont été envoyées en Nouvelle-France de 1663 à 1673 sur ordre de Louis XIV. L’objectif était double : corriger le déséquilibre démographique entre hommes et femmes dans la colonie et stimuler sa croissance démographique. On les appelait Filles du roi parce que Louis XIV payait leur recrutement, leurs vêtements et leur passage au Nouveau Monde et offrait une dot aux femmes lorsqu’elles se mariaient.

Filles du roi ou Filles de joie?

L’idée fausse selon laquelle les Filles du roi étaient des prostituées expulsées de France est très répandue au Québec, bien que de nombreux Canadiens français remontent jusqu’à ces femmes.

L’origine de ce malentendu provient de la Salpêtrière de Paris. À l’origine une usine de poudre à canon, le bâtiment a été transformé en hospice pour femmes démunies en 1656 par Louis XIV. Les conditions y étaient déplorables : saleté, froid et surpopulation caractérisaient cet hôpital, devenu le refuge des femmes souffrant de troubles mentaux, des personnes handicapées, des épileptiques, ainsi que des pauvres et des orphelines. Les autorités y envoyaient également les prostituées pour les retirer des rues de Paris. Ainsi, la Salpêtrière fut rapidement associée à l’image de la prostitution et des « Filles de joie ».

Lorsque Louis XIV chargea son conseiller, Jean-Baptiste Colbert, de recruter des femmes pour peupler le Canada, la Salpêtrière à Paris s’est imposée comme un choix évident. L’établissement, en proie à la surpopulation, était un fardeau pour les autorités désireuses de se décharger d’une partie de ses résidentes. Environ 250 Filles du roi sont venues de la Salpêtrière. Elles ont été choisies par deux femmes venues spécifiquement de la Nouvelle-France pour le recrutement : madame Bourdon et mademoiselle Estienne. Elles privilégiaient les candidates jeunes, sans défaut physique, célibataires, intelligentes, robustes, saines et vertueuses. Chaque fille devait fournir un « certificat de bonne conduite », signé par leur curé ou le juge de leur localité.

Il semble peu probable que des prostituées reconnues aient été sélectionnées, ce que confirment les documents historiques. Bien que certaines prostituées de la Salpêtrière aient été déportées vers d’autres colonies françaises, telles que la Louisiane ou les Caraïbes, la majorité des Filles du roi venues de la Salpêtrière étaient orphelines ou très pauvres. Plus de la moitié étaient orphelines de père, et environ 20 % avaient perdu leur mère.

Une fois choisies par Boudon et Estienne, ces jeunes femmes se voyaient offrir la possibilité de partir pour la Nouvelle-France. Malgré les défis que représentait un tel voyage — la dureté du trajet, le climat hostile du Canada, et le risque d’attaques autochtones — cette option restait préférable à leur situation à la Salpêtrière. Si elles étaient pleinement conscientes de ce qui les attendait en acceptant de quitter la France, nous ne le saurons peut-être jamais.

Les origines des Filles du roi

Bien qu’une bonne partie des Filles du roi vienne de Paris et de la Salpêtrière en particulier, beaucoup venaient également de la région de Normandie et de l’ouest de la France, où se trouvait le port de La Rochelle. En fait, la majorité de ces femmes ont embarqué pour la Nouvelle-France depuis La Rochelle ou Dieppe. On estime qu’un peu plus de 60 % des filles étaient issues de villes, tandis que près de 28 % provenaient de la campagne (les lieux d’origine des autres restant indéterminés). Intéressant contraste, la plupart des hommes qu’elles épousaient en Nouvelle-France étaient eux d’origine rurale. En moyenne, une Fille du roi quittant la France avait 24 ans.

Avant leur départ pour la Nouvelle-France, les Filles du roi recevaient un trousseau. Celui-ci comprenait les éléments essentiels pour leur nouvelle vie : un peigne, une ceinture, une paire de chaussures et des lacets, un collant, une paire de gants, un bonnet, deux coiffes (semblables à des cagoules), ainsi que le nécessaire pour coudre. Le trousseau de couture contenait 100 aiguilles, un étui et un dé à coudre, du fil, des ciseaux, des épingles, deux couteaux et du tissu.

Un passage dangereux et un nouveau monde incertain

La traversée vers la Nouvelle-France était une épreuve périlleuse. À bord du navire, les femmes s’apprêtaient à endurer un voyage d’au moins six semaines, entassées avec d’autres passagers, l’équipage, des animaux, des réserves d’eau, des canons et diverses marchandises. L’espace alloué pour dormir dans la cale était restreint et les conditions d’hygiène précaires, aggravées par le mal de mer qui frappait fréquemment. Près de 10 % des passagers ne survivaient pas au voyage vers le Nouveau Monde.

À Québec, les Filles du roi qui survivaient au voyage étaient accueillies dans une atmosphère animée et festive. L’événement était marqué par la présence des autorités civiles et religieuses, des résidents et des jeunes hommes célibataires. Les femmes, âgées de 16 à 40 ans, étaient prises en charge par des familles de bonne réputation ou logées dans des maisons d’accueil dirigées par des religieuses. D’ailleurs, c’est Marguerite Bourgeoys, une religieuse française et fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal, qui a utilisé le terme « fille du roi » dans ses écrits de 1697 et 1698 pour décrire les 17 filles qu’elle accueillait. Auparavant, ces femmes étaient simplement appelées « filles à marier ».

Ces Filles du roi apprenaient des compétences domestiques essentielles telles que la cuisine, le nettoyage et la couture, préparation à leur futur rôle d’épouse et de mère. De nombreuses femmes sont restées à Québec, alors que d’autres ont descendu le fleuve Saint-Laurent vers Trois-Rivières ou Montréal.

Les Filles du roi jouissaient d’un avantage notable pour l’époque : la liberté de choisir leur époux. Dans la France du 17e siècle, les mariages étaient souvent arrangés, mais le déséquilibre démographique en Nouvelle-France plaçait ces jeunes femmes dans une position où elles avaient le pouvoir de sélectionner leur conjoint. Et elles ne tardaient pas à le faire. En moyenne, une Fille du roi se mariait dans les cinq mois suivants son arrivée, à l’âge moyen de 23 ans, tandis que celui de leur mari était généralement de 27,5 ans. Une Fille du roi, Marguerite Laverdure, s’est mariée dans les 10 jours suivant son arrivée ! L’incitation financière offerte par le roi, ainsi que la pression des autorités civiles et religieuses, encourageait vivement ces unions rapides et la fondation de familles nouvelles pour assurer le peuplement et la prospérité de la colonie.

Un héritage précieux

Dire que la vie était difficile pour nos mères fondatrices est un doux euphémisme. La terre qui leur était donnée était le plus souvent boisée et avait besoin d’être défrichée, et leur « maison » consistait probablement en une cabane délabrée. Les hivers, d’une rigueur que la plupart des Canadiens peuvent imaginer, ajoutaient un défi supplémentaire. Malgré ces difficultés, elles se sont adaptées et, pour le grand bénéfice de Louis XIV et de Colbert, la majorité d’entre elles se sont retrouvées enceintes rapidement, ont fondé de grandes familles, contribuant ainsi à l’objectif de croissance démographique fixé par le roi pour la Nouvelle-France. En moyenne, une Fille du roi a donné naissance à 6,4 enfants et continuait à en avoir jusqu’à l’âge de 40 ans. Au-delà de l’accroissement de la population, ces femmes ont joué un rôle essentiel dans l’unification linguistique ; beaucoup étaient originaires de Paris et ont contribué à la diffusion et à la normalisation de la langue française en Nouvelle-France, contrastant avec les dialectes régionaux ou les patois parlés par de nombreux colons masculins antérieurs.

Les Filles du roi représentent la moitié des femmes immigrantes au début de l'histoire coloniale de la Nouvelle-France. Leur rôle dans l’histoire est donc crucial, bien qu'elles ne soient pas les seules Françaises à avoir émigré. Le fait que la plupart des Canadiens français peuvent remonter leur lignée à au moins une fille du roi atteste de l'importance de ces femmes, justifiant amplement le terme de « mères fondatrices ». Ce terme reflète bien le rôle qu'elles ont joué dans la formation du tissu démographique et culturel des débuts de la société canadienne.

Écoutez le balado « Les Filles du roi, mères de la nation canadienne-française » à l’émission Aujourd’hui l’histoire sur Ohdio, Spotify ou Apple Podcasts.

Apprenez-en davantage avec Danielle Pinsonneault de la Société d'histoire des Filles du Roy:

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Liste des Filles du roi

Les experts et historiens définissent une Fille du roi comme une immigrante, célibataire ou veuve, arrivée au Canada entre 1663 et 1673 et ayant reçu un soutien financier royal pour son transport ou son établissement en Nouvelle-France.

Sur la base de cette définition, le PRDH répertorie les migrantes suivantes en tant que Filles du roi :

• Abraham, Marguerite

• Adam, Anne

• Agathe, Marie Anne

• Albert, Marie

• Allan, Marie

• Allies, Pierrette

• Amiot, Jeanne

• André, Louise

• Andrieu, Marguerite

• Arcular, Marie Ursule

• Ardion, Marie Marguerite

• Ariot, Marie Renée

• Asselin, Marie Françoise

• Aube, Françoise

• Aubert, Jeanne

• Aubert, Marie Elisabeth

• Aubineau, Suzanne

• Aubry, Jacqueline

• Aubry, Marie Anne

• Aubry, Marie Françoise

• Auger, Jeanne

• Auvray, Marie Madeleine

• Bagot, Antoinette

• Baillon, Marie Catherine

• Bailly, Catherine

• Bailly, Marie Madeleine

• Banse, Françoise

• Barbant Balan Barby, Marie

• Barbereau Barbelet, Jeanne

• Barbery, Marie Françoise

• Barbier, Jeanne

• Bardeau, Marie Louise

• Baril, Anne

• Baril, Marie

• Baron, Barbe

• Barre, Catherine

• Barre, Catherine

• Barton, Marie Marthe Françoise

• Basmont, Marie Anne

• Basset, Catherine

• Baudon, Marie Etiennette

• Bauge, Anne

• Beaudin, Marie Catherine

• Beaugrand, Marie Marguerite

• Beauregard, Marie

• Beauregard, Marthe

• Bellehache, Marie

• Bellesoeur Lucas, Anne

• Benoit, Marie Madeleine

• Bercier, Louise

• Berger, Marguerite

• Bernard, Jeanne

• Berrin, Marguerite

• Bertault, Anne

• Besche, Marie

• Beuzelin, Catherine

• Billot, Catherine

• Billot, Genevieve

• Billot, Lucrece

• Bilodeau Biloutelle, Jeanne

• Binaudiere, Marguerite

• Birette, Marie Renée

• Bizelan, Marie Françoise

• Blain, Marie Anne

• Blais Debled, Elisabeth

• Blaise, Marguerite

• Blanchard, Marie

• Blondeau, Jeanne

• Bluteau, Antoinette

• Board, Marie

• Boivin, Françoise

• Bolper, Marie Louise

• Bon, Marie

• Bonheur Bonneville, Marie

• Bonin, Nicole

• Bonneau, Hélène

• Boucault, Jeanne

• Bouchard, Louise

• Bouchard, Marie Jeanne

• Boucher, Marguerite Madeleine

• Bouet, Marie

• Bouillou, Marie

• Bourgeois, Catherine

• Bourgeois, Françoise

• Bourgeois, Jeanne

• Bourgeois, Marie

• Boutard, Marie Marguerite

• Boutet, Marie Madeleine

• Bouveau, Jeanne

• Boyer, Marie Barbe

• Branconnier, Jeanne

• Brandon, Anne

• Brault, Anne

• Bremaille, Marie

• Breval Bertin, Marie

• Briault, Marie

• Briere, Marie

• Bruneau, Catherine

• Brunet, Anne

• Buot, Marie

• Bureau, Catherine

• Burelle, Marie Jeanne

• Caille, Marie

• Caille, Marie Jeanne

• Caille Trottier, Jeanne

• Caillou, Marie Andree

• Calais, Hélène

• Campion, Marie

• Canard, Marie Madeleine

• Cantin, Jeanne

• Carbonnet, Marie Madeleine

• Carcireux, Sylvine

• Cardillon, Marguerite

• Carlier, Marie Catherine

• Cartigny, Marie

• Cartois, Henriette

• Chamfrain, Renée

• Chamois, Marie Claude

• Chancy, Marie

• Chantoiseau, Nicole

• Charbonnier Seigneur, Marie Madeleine

• Charier, Louise

• Charier Charly, Marie

• Charier Charly, Michelle

• Charmesnil, Françoise

• Charpentier, Marguerite

• Charpentier, Marguerite

• Charpentier, Marie

• Charpentier, Marie Reine

• Chartier, Jeanne

• Chartier, Jeanne

• Charton, Jeanne

• Chaton, Marie

• Chaubert Delachariere, Marguerite

• Chaumereau, Marguerite

• Cherfault, Denise Louise

• Chevalier, Françoise

• Chevalier, Jeanne Marguerite

• Chevalier, Suzanne

• Chevreau, Marie

• Chretien, Marie

• Chretien, Marie Madeleine

• Clerice, Catherine

• Coignard, Marie

• Coipel, Marie

• Colin, Anne

• Colin, Denise

• Colin, Marie Rose

• Collet, Jeanne

• Collet, Marguerite

• Compagnon, Antoinette

• Confland, Marie Françoise

• Cottin Darras, Marie Catherine

• Coudret, Marie

• Couet, Marie

• Couet, Marie Charlotte

• Coursolle Rentier, Marie Madeleine

• Cousin, Françoise

• Couture, Anne

• Couturier, Isabelle

• Cretel, Marie Elisabeth

• Croiset, Marie

• Cronier, Jeanne

• Cronier, Marie Martine

• Cure, Françoise

• Daine, Marie

• Dalone, Marie

• Daly Duplessis, Anne

• Damanee, Denise

• Damise, Claude

• Damise, Marie Anne Esther

• Damois, Marie

• Damour, Hélène

• Daubigny Orvilliers, Marguerite

• Debidquin Lachambre, Madeleine

• Deblainville, Anne

• Deboisandre, Jeanne Claude

• Deboisandre Delormelee, Catherine

• Debretigny, Marie

• Decantigny Belleau Debelleau, Catherine

• Decelles, Marie

• Decelles, Marie Madeleine

• Decelles, Marie Marguerite

• Dechard, Jeanne

• Decoquenne Debesonville, Marie Charlotte

• Defosse, Françoise

• Defosse Fausse, Jeanne

• Defoy, Marguerite

• Delacour, Marie

• Delagueripiere, Elisabeth

• Delahogue, Marie Claire

• Delaplace, Marguerite

• Delastre, Marie Adrienne

• Delaunay Delavanoie, Marie Madeleine

• Delavieville Pineault, Anne

• Delestre, Marie Anne

• Deleure Dumontier, Marie Madeleine

• Delorme, Marguerite

• Delostelneau, Marie Catherine

• Demangeon, Claude

• Dematras, Jeanne Judith

• Demontmegnier, Marie

• Denevelet, Marguerite

• Denoyon, Marie

• Deprovinlieu, Marie Marguerite

• Dequincour, Marie Anne

• Descene, Marguerite

• Deschalets, Claude

• Deschalets, Elisabeth

• Deschalets, Madeleine

• Deschamps, Anne

• Deschamps, Marie

• Deschamps, Marie

• Deschamps, Marie

• Desgranges, Marie Louise

• Deshaies, Marguerite

• Deshaies, Marie

• Desjardins, Françoise

• Desmarais, Catherine

• Desmarais, Etiennette

• Desperne, Marie Anne

• Desportes, Marie Françoise

• Despres, Marie Madeleine

• Dessaint, Marie

• Detarragon Darragon, Anne Elisabeth

• Devalois, Catherine

• Deveau, Marie Jeanne

• Dodin, Anne

• Doigt, Ambroise

• Dorange, Barbe

• Doribeau, Marie Catherine

• Doucinet, Elisabeth

• Drouet, Catherine

• Dubois, Marie

• Dubois Marechal, Marguerite

• Dubreuil Breuillet, Isabelle

• Ducharme, Catherine

• Duchemin, Marie Anne

• Duchesne, Barbe

• Ducorps Leduc, Jeanne

• Dufay, Françoise

• Dufiguier, Hélène

• Dufresne, Jeanne

• Dumont, Anne Julienne

• Dumont, Barbe

• Dumontier, Antoinette

• Dupré, Françoise

• Dupuy, Catherine

• Durand, Catherine

• Durand, Françoise

• Durand, Suzanne

• Durosaire, Espérance

• Dusaucay Debelmont, Marie Anne

• Dusson, Marguerite

• Duval, Françoise

• Duval, Marie Madeleine

• Duval, Marie Michelle

• Eloy, Catherine Antoinette

• Eloy, Marie Marguerite

• Evin Even, Marie Marguerite

• Faille Delafaye Lafaye, Marie

• Faucher, Jeanne

• Faucon, Marie

• Fauconnier, Marie Jeanne

• Faure, Louise

• Fauveau, Jeanne

• Fayet, Anne

• Ferre, Catherine

• Ferron, Marguerite

• Fievre, Marie Catherine

• Flamand, Nicole

• Flechet, Anne

• Fleurot, Marie

• Fontaine, Marie Anne

• Fontaine Dechevrainville, Marie Claude

• Fontaine Dechevrainville, Marie Madeleine

• Foubert, Anne

• Fouquet, Marie

• Fourier, Catherine

• Fourier, Jeanne

• Fresel, Elisabeth Isabelle

• Fresel, Jeanne

• Froc Frost, Marie Louise

• Gaillard, Marie

• Gaillard Duplessis, Marie Marguerite

• Galais, Anne

• Galais, Marie Anne

• Gallien Paulinier, Marie Thérèse

• Gambier, Marie Marguerite

• Gargotine, Louise

• Gateau, Catherine

• Gaumond, Marie Madeleine

• Gauthier, Marie

• Gauthier, Marie Jeanne

• Gendreau, Anne

• Genest, Marie Leonarde Jeanne

• Geoffroy, Anne

• Gilles, Marie Jeanne

• Girard, Anne

• Girard, Marguerite

• Goard, Mathurine

• Gobert Groleau, Marie Madeleine

• Godeby, Anne

• Godequin, Jeanne

• Godillon, Elisabeth

• Godon, Marie

• Goiset, Anne

• Gossard, Noella

• Goubille, Françoise

• Grandin, Jeanne

• Grandin, Marie

• Grandin Grondin, Marie

• Grandjean, Adrienne

• Grandjean, Marie Madeleine

• Granger, Catherine

• Gravois, Marie

• Griault, Jeanne

• Grimbaut, Anne

• Groisat, Jeanne

• Groleau, Marie Madeleine

• Grossejambe Grosjean, Marie Françoise

• Grusseau, Marie

• Guay, Madeleine

• Guay, Marie Madeleine

• Guedon, Marie Anne

• Guerard, Catherine

• Guerin, Madeleine

• Guerin Brunet, Marie Jeanne

• Guillaudeau, Madeleine

• Guillaume, Anne

• Guillaume, Marie

• Guillebeuf, Marie Madeleine

• Guillet, Marie

• Guillin, Marie Françoise

• Guisselin, Marie Catherine

• Guyard, Catherine

• Halle, Marie

• Halle, Marie

• Haneton, Marie Madeleine

• Hannart, Anne

• Hardy, Jeanne

• Hatanville, Marie

• Hébert, Françoise

• Hébert, Marie Louise Madeleine

• Hébert Schreiber, Marie Charles

• Hedouin, Marie Marguerite

• Holleri, Anne

• Hubert, Elisabeth

• Hubert Hébert, Marie

• Hubinet, Louise

• Huchet, Françoise

• Humelot Hardy, Catherine

• Hus, Marie

• Hutru, Perrine

• Hyardin, Marguerite

• Hyardin, Marie

Bibliographie et lecture complémentaire :

• Charbonneau, Hubert et Bertrand Desjardins, « Liste des Filles du roi du Programme de recherche en démographie historique », Institut généalogique Drouin (https://www.prdh-igd.com/fr/les-filles-du-roi : consulté le 24 Jan 2019).

• Fournier, Marcel, automne 2014. « Des Filles du roi qui n’en sont probablement pas? », Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, vol. 65, cahier 281, 227-232.

• Gagné, Ghyslaine, printemps 2002. « Les filles du roi », Bulletin de la Société historique du Cap-Rouge, numéro 13, (http://www.shcr.qc.ca/ ; originalement publié en 1993 : consulté le 24 Jan 2019) 6-19.

• Landry, Yves, 1992. Orphelines en France, pionnières au Canada. Les Filles du roi au XVIIe siècle ; suivi d’un répertoire biographique des Filles du roi (Montréal, Québec : Leméac).

• Pinsonneault, Danielle. « LES FILLES DU ROY : Humbles « filles à marier » à leur arrivée en Nouvelle-France, maintenant reconnues comme Mères de la Nation! ». Société d’histoire des Filles du Roy (http://lesfillesduroy-quebec.org/images/Article12082017_-_Les_Filles_du_Roy_Humbles_Filles_a_marier_rev.pdf ; publié Sep 2016 : consulté le 2 Jul 2020)

• Sirois-Belle, Maud. « La Salpêtrière et « les Filles du Roy » au XVIIe siècle », Société d’histoire des Filles du Roy (http://lesfillesduroy-quebec.org; publié 21 Jun 2010 : consulté le 24 Jan 2019).

• Wien, Tom, et Suzanne Gousse, « Filles du Roi », The Canadian Encyclopedia. Historica Canada. Article publié 6 déc 2011; dernière mise-à-jour 8 sep 2016.