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Maurice Crépeau et Marguerite Laverdure

Découvrez l’histoire de Maurice Crépeau, un serger français du petit village des Roches-Baritaud, et de Marguerite Laverdure, une Fille du roi parisienne, alors qu’ils entreprennent un voyage qui les mènera à établir un héritage familial sur les rives fertiles de l’Île d’Orléans.

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Pionniers de la Nouvelle-France : La vie et l’héritage de Maurice Crépeau et Marguerite Laverdure

Découvrez l’histoire de Maurice Crépeau, un serger français du petit village des Roches-Baritaud, et de Marguerite Laverdure, une Fille du roi parisienne, alors qu’ils entreprennent un voyage qui les mènera à établir un héritage familial sur les rives fertiles de l’Île d’Orléans.

 

Château des Roches-Baritaud (Geneanet)

Maurice Crépeau (ou Crespeau), fils de Jehan Crespeau et de Suzanne Fumoleau, est né le 25 novembre 1637 au village des Roches-Baritaud, situé dans la commune de Saint-Germain-de-Prinçay, en Poitou, France. Il est baptisé le même jour dans l’église paroissiale du XIe siècle. Son parrain est Étienne Touret et sa marraine est Suzanne Baujé.

Saint-Germain-de-Prinçay, dans l’actuel département de la Vendée, est situé à environ 65 kilomètres au nord de La Rochelle, port de départ probable de Maurice pour la Nouvelle-France. Aujourd’hui, la commune rurale compte une population d’environ 1 600 habitants, appelés Germinois. L’une de ses principales attractions est le château des Roches-Baritaud, datant du XVe siècle.

Baptême de Maurice Crépeau en 1637 (« Morisse Crespeau ») (Archives départementales de la Vendée)

Localisation de Saint-Germain-de-Prinçay en France (Google)

Plaque commémorative installée dans l’église Saint-Sauveur à La Rochelle, France (© La Généalogiste franco-canadienne)


Propriétaire en Nouvelle-France

On ignore les détails de l’arrivée de Maurice en Nouvelle-France, mais il apparaît pour la première fois dans les registres publics en 1662, alors qu’il est âgé de 24 ans. Le 15 juillet de cette année-là, il reçoit de Charles de Lauson une concession de terre dans la seigneurie de Liret, à l’Île-d’Orléans. La terre mesure trois arpents de front (face au fleuve Saint-Laurent) sur le côté nord de l’île (dans l’actuelle paroisse de Saint-Pierre).

Concession de terre à Maurice Crépeau en 1662 (Bibliothèque et Archives nationales du Québec)

Concession de Maurice Crépeau à l’Île-d’Orléans (en bleu) (Google)

Le 23 mars 1664, Maurice et 103 autres personnes reçoivent le sacrement de confirmation du monseigneur de Laval, dans l’église paroissiale Notre-Dame de Québec. Il est enregistré comme un jeune homme de 26 ans de l’évêché de Luçon (juste au sud de Saint-Germain-de-Prinçay).

Confirmation de Maurice Crépeau en 1664 (Généalogie Québec)


Marguerite Laverdure (ou Verdure), fille de Martin Laverdure et de Jacqueline Leliot, est née vers 1645 dans la paroisse de Saint-Nicolas-des-Champs à Paris, France. Fille du roi, Marguerite quitte la France en 1665 avec une dot estimée à 200 livres de biens.

Carte de Paris en 1615 de Derveaux et Tavernier (Saint-Nicolas-des-Champs en jaune) (Musée Carnavalet)

Église de Saint-Nicolas-des-Champs (photo de Mbzt, Wikimedia Commons)

L’église Saint-Nicolas-des-Champs est située dans le 3e arrondissement de Paris. Sa construction s’est étalée sur 200 ans, de 1420 à 1620. L’église de style gothique a été classée monument historique national en 1887. À l’intérieur de l’église, plus de 70 autres objets (peintures, sculptures, peintures murales, cloches, etc.) ont également été classés au titre des monuments historiques nationaux.

Marguerite est probablement une passagère du navire Le Saint-Jean-Baptiste, parti de Dieppe et arrivé à Québec le 2 octobre 1665. Elle est l’une des 82 Filles du roi à bord, avec 130 ouvriers. C’est le dernier navire à arriver à Québec cette année-là.


Mariage

Page 3 du contrat de mariage de Maurice Crépeau et Marguerite Laverdure en 1665 (FamilySearch)

Dix jours à peine après son arrivée, le 12 octobre 1665, Marguerite et son futur époux, Maurice Crépeau, font rédiger un contrat de mariage par le notaire Pierre Duquet à Québec. Maurice a 27 ans, Marguerite en a environ 20. Le contrat suit les clauses standard de la coutume de Paris. Marguerite reçoit une dot préfixe de 200 livres, et elle apporte 200 livres à la communauté de biens. Le préciput est fixé à 100 livres. [Le préciput, sous le régime de la communauté de biens entre époux, était un avantage conféré par le contrat de mariage à l’un des époux, généralement au survivant, et consistant dans le droit de prélever, lors de la dissolution de la communauté, sur la masse commune et avant tout partage de celle-ci, certains biens déterminés ou une somme d’argent.]

Aucun des deux époux ne peut signer son nom sur le contrat de mariage, mais certains des personnages les plus importants de la colonie le font : Daniel Rémy, sieur de Courcelle (le gouverneur), Alexandre de Prouville (commandant en chef des troupes de la colonie), Jean Bourdon (ingénieur et arpenteur) et Anne Gasnier (chaperonne des Filles du roi et l’épouse de Bourdon). Jean et Louis Levasseur, Pierre Chalut et Jacques Raté sont également témoins. L’acte de mariage n’existe plus, mais les couples se marient généralement dans les trois semaines qui suivent la signature du contrat de mariage.

Maurice et Marguerite auront neuf enfants :

  1. Marie Anne (1667-1703)

  2. Marguerite (1669-1745)

  3. Joseph (1671-?)

  4. Maurice (1673-1753); il devient lieutenant de milice

  5. Marie Madeleine (1675-1748)

  6. Pierre (1678-1768); il devient brasseur de bière

  7. Françoise (1680-1680)

  8. Robert (1681-1749)

  9. Marie Geneviève (1684-1764)


Une vie tranquille sur l’Île-d’Orléans

Le couple s’installe sur la terre de Maurice à l’Île-d’Orléans. Ils y sont énumérés lors du recensement de la Nouvelle-France en 1666. Maurice est serger et habitant (cultivateur).

Recensement de 1666 pour la famille Crépeau (Bibliothèque et Archives Canada)

Un an plus tard, Maurice et Marguerite sont à nouveau recensés, toujours à l’Île-d’Orléans. Leur fille Marie Anne, âgée de sept mois, est inscrite dans le ménage. Maurice possède une bête et neuf arpents de terre défrichée.

Recensement de 1667 pour la famille Crépeau (Bibliothèque et Archives Canada)

Le nom de Maurice n’apparaît pas souvent dans les actes notariés. Le 21 janvier 1668, le notaire Romain Becquet rédige un document dans lequel Maurice reconnaît une dette envers Charles Courtois de 34 livres et 12 sols, qu’il s’engage à payer pour le 1er juin de l’année suivante. Il s’engage également à livrer deux minots de blé à Courtois dans les 15 jours. Une note en marge du document indique que Maurice rembourse la dette le 19 août 1669.

Maurice et Marguerite sont inscrits au recensement de 1681 à l’Île-d’Orléans avec leurs six enfants. Maurice possède trois bestiaux, 15 arpents de terre défrichée et aucun fusil.

Recensement de 1681 pour la famille Crépeau (Bibliothèque et Archives Canada)

En 1689, une carte détaillée de l’Île a été réalisée par Robert de Villeneuve, avec les noms de 347 propriétaires terriens. La maison et la grange de Maurice Crépeau sont illustrées.

Carte de l’Île-d’Orléans en 1689 (Bibliothèque et Archives nationales du Québec)

Le 31 mars 1701, Maurice et Marguerite font don d’une partie de leurs terres à l’Île-d’Orléans à leur fils Maurice. « Considérant que le grand âge dans lequel ils sont avancés ne leur permet plus de travailler comme ils ont fait par le passé, à faire valoir le peu de biens qu’il a plu à dieu leur donner, ils ont pour engager étroitement Maurice Crépeau, leur fils, à les soulager dans leur vieillesse ». Maurice et Marguerite font enregistrer une « donation pure et simple entre vifs et irrévocable » d’un arpent de terre, avec leurs bâtiments, les meubles et bestiaux, à leur fils. Ils conservent toutefois le contrôle général de la ferme et peuvent utiliser l’ensemble de la propriété comme ils le souhaitent. En contrepartie, Maurice (fils) devra payer les cens et les rentes de la terre et vivra avec ses parents jusqu’à leur mort. Il s’engage à entretenir les terres restantes de ses parents ainsi que sa part, à prendre soin de ses parents, à les nourrir et à les loger jusqu’à leur mort. À leur décès, Maurice (fils) ne recevra que sa part des effectifs mobiliers et bestiaux (selon le contrat de mariage et la coutume de Paris).


Décès et succession de Maurice Crépeau

Maurice Crépeau meurt à l’âge de 66 ans le 8 septembre 1704. Il est inhumé deux jours plus tard dans la paroisse Saint-Pierre de l’Île-d’Orléans, « après avoir reçu les sacrements de pénitence, d’eucharistie et d’extrême-onction ». 

Deux mois après l’enterrement de Maurice, le 10 novembre 1704, le notaire Etienne Jacob dresse l’inventaire des biens de Maurice et Marguerite. Le lendemain, la succession est partagée entre ses héritiers. L’inventaire énumère tous les biens du couple : articles de cuisine, outils, linge, vêtements, charrue, harnais pour chevaux, autres équipements agricoles, animaux de ferme et céréales récoltées.

Sépulture de Maurice Crépeau en 1704 (Généalogie Québec)

Extrait de l’inventaire de 1704 (FamilySearch)

Le partage de l’héritage entre les héritiers de Maurice Crépeau ne semble pas s’être fait sans heurts. Le 20 mars 1705, les frères et sœurs de Maurice Crépeau (fils) et leurs conjoints révoquent une clause qu’ils avaient acceptée l’année précédente.   

Le 22 mars 1706, Marguerite fait rédiger par le notaire Louis Chambalon un contrat par lequel elle vend à son fils Maurice « la moitié de la succession de ce qui a été entre elle et ledit défunt Crépeau » (sa moitié de la communauté de biens). Maurice verse à sa mère 400 livres sous forme de 12 cartes-monnaie d’une valeur de 32 livres chacune.

 

Monnaie de carte (extrait de l’Encyclopédie canadienne)

La monnaie de carte était un type de papier-monnaie utilisé périodiquement en Nouvelle-France de 1685 jusqu’à la Conquête britannique de 1763. Les monnaies de cartes étaient émises par le roi et elles détenaient des valeurs équivalentes aux livres françaises. Elles ont plus tard été remplacées par des cartes blanches découpées sous diverses formes.

L’administration de la Nouvelle-France compte sur l’arrivée de l’argent comptant venant de France pour payer les fonctionnaires, les fournisseurs, les soldats et les commis. Il y a confusion lorsque le bateau n’arrive qu’en fin de saison, et plus encore quand il n’arrive pas du tout. En 1685, l’intendant Jacques de Meulles invente un type de papier-monnaie afin de faire face aux dépenses. Il imprime divers montants sur des cartes à jouer et il y appose son sceau. Lorsque le navire du roi arrive, il échange cette monnaie de carte contre de l’argent comptant. Ce système prend fin après 1686, mais il s’avère nécessaire d’y recourir de nouveau entre 1689 et 1719. En 1714, on évalue à 2 millions de livres le montant total de monnaies de carte en circulation. Certaines cartes valent jusqu’à 100 livres.

Le roi recommence à avoir recours à la monnaie de carte en 1729, parce que les marchands le demandent. Cette fois, l’argent prend la forme de cartes blanches sans couleurs, qui sont coupées ou dont les coins sont découpés selon une table de calcul définie. Une carte entière vaut 24 livres (soit la somme la plus élevée pour de la monnaie de carte). Lorsque les coins sont coupés, elle vaut 12 livres. D’autres coupes ont d’autres valeurs.


Église paroissiale de Saint-Pierre à l’Île-d’Orléans (©La Généalogiste franco-canadienne)

Femme pieuse, Marguerite est dévouée à son église, affirmant « qu’il n’y a rien de plus raisonnable que de rendre à dieu une partie de ses biens ». Le 19 juillet 1708, elle et son fils Maurice demandent au notaire Etienne Jacob de rédiger un acte par lequel ils donnent à la Fabrique Saint-Pierre une rente annuelle et perpétuelle « pour le repos de l’âme » de Marguerite. Maurice semble également faire don à la fabrique de l’arpent de terre que ses parents lui avaient précédemment donné. Peut-être a-t-il agi ainsi pour éviter d’autres conflits avec ses frères et sœurs.  

Le 27 février 1710, Georges Plante, époux de Marguerite Crépeau (deuxième enfant de Maurice [père] et Marguerite Laverdure), donne quittance à son beau-frère Maurice (fils) de la part de l’héritage Crépeau revenant à son épouse. Un an plus tard, le 21 février 1711, un jugement de l’intendant Jacques Raudot clôt officiellement les litiges entre Marguerite Laverdure et ses enfants, concernant la vente de la terre à son fils Maurice. Raudot ordonne que Maurice « ne payera à ses frères et sœurs que la somme de 1 423 livres, sur laquelle il retiendra celle de cent livres pour sa dot, et sur laquelle aussi il précomptera à sesdits frères et sœurs les sommes qu’il leur a avancées ».


Décès de Marguerite Laverdure

Sépulture de Marguerite Laverdure en 1727 (Généalogie Québec)

Marguerite Laverdure meurt subitement à l’âge de 82 ans le 22 août 1727, « après plusieurs années d’enfance ». Elle est inhumée le lendemain dans le cimetière paroissial de Saint-Pierre à l’Île-d’Orléans.

Ainsi s’achève l’histoire de deux pionniers français qui ont bravé l’inconnu pour se tailler une vie meilleure en Nouvelle-France. Comme de nombreux immigrants pionniers, Maurice Crépeau et Marguerite Laverdure se sont installés dans une humble vie de fermiers et ont élevé une famille nombreuse, laissant des milliers de descendants à travers l’Amérique du Nord aujourd’hui, y compris les familles Crespeau, Crespel et Crespieul.

 


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Bibliographie :

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  • « Actes de notaire, 1692-1716 : Louis Chambalon », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QHV-L3NF-H3FB?i=2516&cat=1170051 : consultée le 5 fév. 2024), don de Maurice Crepeau et Marguerite La Verdure à leur fils, 31 mars 1701, images 2516 à 2517 de 3419, film 2370925 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  • « Actes de notaire, 1680-1726 : Etienne Jacob », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QHV-53LZ-5GPQ?i=1666&cat=678814 : consultée le 5 fév. 2024), inventaire après décès et partage de la succession de Maurice Crepeau et Marguerite Laverdure, 10-11 nov. 1704, images 1667 à 1678 de 2468, film 2073647 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  • Ibid. (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QHV-R3LZ-55TH?i=1803&cat=678814 : consultée le 6 fév. 2024), révocation des héritiers de Maurice Crespeau, 20 mars 1705, images 1804 à 1806 de 2468, film 2073647.

  • « Actes de notaire, 1680-1726 : Etienne Jacob », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QHV-R3LD-D9H5-P?i=320&cat=678814 : consultée le 6 fév. 2024), donation de Maurice Crepeau et Marguerite Laverdure à la Fabrique de Saint-Pierre, 19 juil. 1708, images 321 à 323 de 2869, film 2073715.

  • « Fonds Intendants - Archives nationales à Québec », images numérisées, Bibliothèque et Archives nationales du Québec (https://advitam.banq.qc.ca/notice/86936 : consultée le 6 fév. 2024, « Ordonnance de l'intendant Jacques Raudot qui termine les contestations entre la veuve Maurice Crépeau et ses enfants au sujet d'une terre vendue à Maurice Crépeau fils », 21 fév. 1711, référence E1,S1,D5,P761, Id 86936.

  •  

  • « Registre des confirmations 1649-1662 », images numérisées, Généalogie Québec (https://www.genealogiequebec.com/membership/fr/fonds-drouin/REGISTRES : consultée le 21 sept. 2021), confirmation de Maurice Crespeau, 23 mars 1664, Québec; citant les données originales : Registre des confirmations, Diocèse de Québec, Registres du Fonds Drouin.

  • « Recensement du Canada, 1666 », Bibliothèque et Archives Canada (https://collectionscanada.gc.ca/ : consultée le 5 fév. 2024), ménage de Maurice Crepeau, 1666, page 76, Québec, instrument de recherche MSS0446, MIKAN 2318856 ; citant les données originales : Centre des archives d'outre-mer (France) vol. 460.

  • « Recensement du Canada, 1667 », Bibliothèque et Archives Canada (https://collectionscanada.gc.ca/ : consultée le 5 fév. 2024), ménage de Maurice Crespeau, 1667, page 104, Québec, instrument de recherche MSS0446, item 2318857 ; citant les données originales : Centre des archives d'outre-mer (France) vol. 460.

  • « Recensement du Canada fait par l'intendant Du Chesneau », Bibliothèque et Archives Canada (https://collectionscanada.gc.ca/ : consultée le 5 fév. 2024), ménage de Maurice Crespeau, 14 nov. 1681, Québec, page 313, instrument de recherche MSS0446, MIKAN 2318858 ; citant les données originales : Centre des archives d'outre-mer (France) vol. 460.

  • « Carte de la Comté de Saint-Laurent (seigneurie de l'Île-d'Orléans) en la Nouvelle-France mesurée très exactement (en 1689) par le Sieur de Villeneuve », image numérisée, Bibliothèque et Archives nationales du Québec (https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3143134 : consultée le 5 fév. 2024), référence E21,S555,SS3,SSS4,P41.1A, id 262622.

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  • Pierre Frigon, « Navires à destination de Québec en 1665 et détail des sources », Association des Familles Frigon Inc. (https://frigon.org/uploads/document/navires_1665v8.pdf : consultée le 5 fév. 2024).

  • Université de Montréal, base de données en ligne, Programme de recherche en démographie historique (PRDH) (https://www-prdh-igd-com/Membership/fr/PRDH/Famille/1881 : consultée le 5 fév. 2024), entrée du dictionnaire pour Maurice CREPEAU et Marguerite LAVERDURE, union 1881.

  • Kim Kujawski, « Le Sergetier », La Généalogiste franco-canadienne (https://www.tfcg.ca/ancien-metier-sergetier : consultée le 5 fév. 2024).

  • « Monnaie de carte » l'Encyclopédie Canadienne (https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/monnaie-de-carte : consultée le 6 fév. 2024), article publié le 7 fév. 2006, dernière mise-à-jour le 8 juin 2020.